Découvrons les oiseaux du monde entier :

Description

La Perruche d'Ouvéa, longue d'environ 30cm pour une masse de 100g, a un plumage essentiellement vert gazon et une crête verte plutôt originale.
Sa crête à la particularités d'être composée de six plumes et uniquement six qui partent vers l'arrière puis s'enroulent vers l'avant.


Elle est endémique de l'île d'Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie où elle fréquente les forêts naturelles tout en évitant les plantations de cocotiers et la végétation côtière.
Elle vit essentiellement sous la canopée (l'étage supérieur de la forêt).
Étant très protégé, on ne rencontre pas cet oiseau chez n'importe qui, de ce fait très peu de parcs Européens en élèvent.
La perruche d'ouvea à un cycle de vie particulier, en effet, elle est en grande partie active en début de matinée et en fin d'après-midi, évitant les activités pendant la chaleur de la journée.

Alimentation
Son régime alimentaire est essentiellement composé de graines d'une grande variété d'essence mais elle profite aussi des fruits introduits par l'homme comme la papaye, la passiflore, le piment et l'amande.


Reproduction

La saison de reproduction varie d'Août à Janvier.
Les nids sont installés dans des cavités naturelles d'arbres indigènes, comme les Syzygium et les Mimusops qui représentent 90% des arbres de nidification.
En moyenne la femelle pondra 3 œufs qu'elle couvera seul pendant 21 jours, (les jeunes restent au nid 43 jours).
La femelle s'occupera seule de la couvée et du nourrissage des jeunes, pendant se temps le mâle fournira la nourriture.


Bon à savoir : Cette espèce est classée comme étant en Voie de Disparition sur la liste rouge de l'IUCN.

Super initiative !

oui génial cet . c'est vrai qu'il y a matière à faire....

J'ai eu cette tout bêtement en regardant un documentaire animalier hier en fait, sur les oiseaux d’Australie justement et c'est là que je me suis dis que ça pourrait être intéressant car on connait les espèces domestique mais celles qui sont menacés beaucoup moins donc voilà, enfin content que l' vous plaise

super intéressent et je suivrais se poste avec plaisir ludovic merci

Merci à toi !


Cette semaine je vous propose de découvrir :




Ordre : Passériformes
Famille : Estrildidés
Genre : Stagonopleura
Localisation : Australie

Une espèce que l'on ne pourra pas rencontrer en élevage puisque l'Australie a
fermé ses frontières il y a déjà quelques années et que la reproduction de cette espèce ne représentait que de rare cas avant que cette fermeture des frontières ne soit d'actualité !

Long de 10 à 13 cm et pesant 14 g, le Diamant queue-de-feu est un petit oiseau dodu, un peu plus petit que le Diamant à gouttelettes. Son plumage est essentiellement brun-olive. La poitrine blanche porte de fines raies sombres. La tête a un masque noir avec des anneaux de couleur bleu pâle autour des yeux et un gros bec rouge. Son croupion est d'un rouge profond, ses pattes de couleur crème rosé. Les ailes et la queue sont courtes et arrondies. Les juvéniles sont moins colorés avec un masque de visage plus petit et un bec noirâtre.

Il est endémique dans le sud-est de l'Australie. Son aire de répartition s'étend de Newcastle à Kangaroo Island, toutefois, l'oiseau est plus abondant en Tasmanie et dans les îles environnantes. Il vit dans les landes côtières, les forêts et les arbustes, jamais loin de l'eau.
Il est considéré comme un oiseau sédentaire.

Comportement :
Il se nourrit principalement de graines de graminée, de Casuarina et de Melaleuca. On peut également le trouver dans les landes de Banksia ericifolia dans la région côtière de Nouvelle-Galles du Sud1 Il complète son alimentation avec de petits insectes et escargots. Les oiseaux se trouvent généralement par deux ou par petits groupes de jusqu'à 20 individus.
Le Diamant oculé (Stagonopleura oculata) est une espèce de passereaux placée dans la famille des Estrildidae.
On le trouve dans les forêts et taillis côtiers du sud-ouest de l'Australie.

Reproduction :
La saison de reproduction va d'octobre à janvier. Le nid est placé dans le feuillage dense près du sol. Il est fait d'herbe et de petits rameaux, doublé de plumes. Il est en forme de bouteille avec un long tunnel d'accès sur le côté, conduisant à une chambre de nidification sphérique.

Les deux parents construisent le nid ensemble, la couvée a cinq à huit œufs et dure environ 20 jours. Les parents nourrissent les poussins qui quittent le nid après environ 20 autres jours. Après quatre semaines les poussins sont livrés à eux-mêmes et atteignent leur maturité sexuelle à environ neuf à douze mois.

superbe

merci ludovic
superbe et ta fiche qui accompagne le décrit bien   

merci

 

oui super

très bonne ludo

Cette semaine je vous propose de découvrir un oiseau venu d'Amérique du sud :


Cet espèce fréquente généralement les forêts de 'terra firme' que l'on pourrait définir comme des zones boisées qui ne sont en principe jamais inondées par les eaux des fleuves.
Dans cette partie, l'oiseau habite surtout les parcelles arborifères avec un sol sableux.
Cependant, exceptionellement, on peut trouver les araçaris multibandes dans des zones de vàrzea, qui se caractérisent comme des régions forestières inondables.
Ces régions, situées en bordure des rivières sont régulièrement submergées Araçari multibande plusieurs mois par an et les parties basses des arbres sont adaptées pour supporter cette présence continuelle de l'eau.
On peut également trouver cet araçari sur les forêts de versant jusqu'à une altitude maximale de 900 mètres.
L'araçari multibande est endémique de la partie centrale du continent sud-américain.
On le trouve du sud du Vénézuela et de l'est de la Colombie jusqu'au nord-est du Pérou et au nord-ouest du Brésil.

Comportements :
Les araçaris multibandes vivent en petits groupes ne comprenant que des individus de leur espèce et pouvant atteindre parfois jusqu'à une douzaine de membres. Lorsqu'ils sont sous le couvert, ils circulent généralement en volant en Araçari multibande file indienne, les uns derrière les autres.

Nidification :
Peu de renseignements sur la reproduction du multibande. On sait cependant que la plupart des araçaris répugnent à creuser leurs propres cavités et préfèrent de façon générale réutiliser d'anciens nids de pics ou de bécasseaux. Le mâle se charge habituellement de la restauration du site puis se livre à un tas de cajoleries pour obtenir l'approbation de sa partenaire. Deux à quatre oeufs sont pondus dans la cavité peu profonde dont le plancher est simplement recouvert de quelques copeaux de bois. Les petits naissent nus et aveugles après 16 jours environ d'incubation. Ils recoivent un régime spécifique riche en protéines composé principalement d'insectes et de fruits régurgités. Comme l'ensemble des autres ramphastides, on suppose que l'envol peut intervenir au bout de 6 semaines.

Histoire de l'espèce :
Victime de son caractère curieux et peu farouche, le kakapo a vu ses effectifs radicalement chuter depuis le XIXe siècle. Grâce à un programme de conservation, l'espèce va désormais un peu mieux.

Incapable de voler, lent à se déplacer, préférant parfois la compagnie des hommes à celles de ses congénères femelles, le kakapo, un grand perroquet de Nouvelle-Zélande, était sur le point de disparaître. Mais des années d’efforts vont peut-être sauver l’espèce.

En 1990, on ne comptait plus qu’une cinquantaine de spécimens de cet oiseau au plumage vert piqué de taches noires, un des plus rares de la planète. Aujourd’hui, ils sont 126.

Le kakapo - «perroquet de nuit» en maori - était un des oiseaux les plus répandus en Nouvelle-Zélande, jusqu'à la colonisation européenne au début du XIXe siècle et l’arrivée de prédateurs, chiens, chats et hermines.

Aussi, lors des années 1990, l’avenir de l’espèce paraissait sombre, compte tenu du vieillissement et de la baisse de la population, se souvient Ron Moorehouse, scientifique qui travaille sur ce programme.

Les autorités ont alors décidé de débloquer des fonds (plusieurs millions d’euros) pour sauver cet oiseau, décrit par les scientifiques comme attachant et plein de malice.

Alimentation :
Le bec du kakapo est adapté pour un fin broyage des aliments. Pour cette raison, le kakapo a un gésier relativement petit par rapport à d'autres oiseaux de sa taille. Il est végétarien et se nourrit de plantes indigènes, de graines, de fruits, de pollens et même de l'aubier des arbres.

Reproduction :
Le kakapo est la seule espèce de perroquet incapable de voler dans le monde, et le seul oiseau incapable de voler à avoir recours à un lek pour sa parade nuptiale.
Les mâles se rassemblent librement dans une arène et se combattent les uns contre les autres pour attirer les femelles. Les femelles écoutent les mâles lors de la parade et choisissent leur compagnon en fonction de sa qualité. Les femelles ne sont d'aucune façon poursuivies par les mâles. Les mâles et les femelles se rencontre uniquement lors de l'accouplement, le couple ne créant pas de liens durable.

La femelle kakapo pond jusqu'à trois œufs par cycle de reproduction.
Elle niche sur le sol sous le couvert de plantes ou dans des cavités telles que des troncs d'arbres creux.
La femelle couve ses œufs fidèlement, mais est forcée de les abandonner tous les soirs à la recherche de nourriture.
Les œufs du kakapo éclosent habituellement dans les 30 jours.
Après l'éclosion des œufs, la femelle nourrit ses poussins pendant trois mois, ensuite ceux-ci restent encore avec leur mère pendant quelques mois.
Les poussins quittent le nid à l'âge d'environ 10 à 12 semaines.
Ils acquièrent progressivement une plus grande indépendance, leur mère pouvant toujours les nourrir sporadiquement jusqu'à 6 mois.

Je craque pour le kakapo.... Les couleurs, la bouille.... merci pour ce sujet vraiment intéressant

  

Ils superbe

C'est vrai qu'il a une bonne bouille

J'avoue

merci pour ces découvertes

amitié

une très bonne que ces présentations de diverses boules de plumes

Merci il faut que je reprenne d'ailleurs !
N'hesite pas si le coeur t'en dit a poster toi aussi des photos d'oiseaux qui te tienne a coeur

Super